pointer ou cliquer sur un panneau





Trois jours sur les crêtes

Je veux vous remercier de ces 3 jours magnifiques. C'était une très, très belle randonnée.
Le premier jour on est parti au Bonhomme à 10 h 15 et à 17 h 35 on est arrivé au Col de la Schlucht où on a dormi à l'hôtel.
Le deuxième jour on est parti à 10 h 00 laissant le sac à dos de mon fils à l’hôtel, on est arrivé.
à 15 h 40, super-belle randonnée. On a récupéré le sac à mon fils et là on a décidé de partir pour 2 heures de marche, au Lac Vert, pour y passer la nuit. Mais il n'y avait pas d'hébergement au Lac Vert.
A la ferme-auberge on nous explique que le seul endroit où on pourrait dormir serait éventuellement le Lac Noir (cela fait plus de 8 heures qu'on marche).
On repart pour le Lac Noir, rien, encore une 1 heure pour le Lac Blanc et là en remontant vers le Col du Calvaire on voit enfin un hébergement il est 20 h 40 on était fatigué mal aux jambes et des cloques aux pieds mais heureux et satisfait de la journée. Dommage qu'on a fait le trajet du 3éme jour car le lendemain matin on est parti vers le Bonhomme (sans passer par Orbey) en 1 heure 30. On est arrivé.

Antoine
le 21 juin 2009

Le gnôme du Taennchel

Il y a environ 10 ans, vers la fin de l’été, nous avons fait, à deux, une randonnée au Taennchel en partant de Thannenkirch. Le temps était un peu instable. A mi-chemin de la montée vers le Rocher de la Paix d’Udine une petite averse nous surprend. Par chance nous trouvons un petit abri. Dans cette cabane se réfugie un petit homme un peu maigre vêtu d’une cape bleue. Il nous propose un sachet avec des champignons et commence à nous raconter sa vie. Il est venu de la Drôme en vélo pour se nourrir dans les Vosges, car on trouve plus de baies ici. Son vélo il l’a caché quelque part dans les buissons. Il dort dans un camping. Il n’aime pas le bruit ni les gens. Nous avons raconté à nos enfants qu’on a rencontré un gnôme des bois. Ils en doutent encore aujourd’hui. Comme quoi au Taennchel on peut rencontrer des êtres bizarres, hors du commun. Nous n’avions pas d’appareil photo, mais je ne sais pas s’il aurait accepté de se faire photographier.

Jacques
3 janvier 2014

Souvenir inoubliable d'une randonnée

Il y a une dizaine d’années, lors d’une randonnée en couple, près de La Petite Pierre, nous avons enregistré des émotions fortes qui restent encore imprégnées de nos jours.
Nous nous promenions tranquillement, en pleine forêt, sur un petit sentier au sommet d’une montagne. Quand nous arrivons au bout de la ligne de crête, juste au moment ou nous allons aborder la descente, un lourd animal semble prendre la fuite. C’est un gros sanglier. Après quelques mètres de course, un peu en contre bas, il s’arrête, se retourne et nous regarde. On reste immobile et on l’observe. Il est impressionnant au milieu du sentier, à une cinquantaine de mètres de nous. Après quelques secondes d’observation il s’avance de quelques pas vers nous. Ou la la ! va-t-il foncer ? Je dis à mon épouse. « S’il fonce tu te planque derrière un arbre ». La grosse bête s’arrête encore une fois pour nous fixer des yeux. Elle n’est plus qu’à 30 m de nous. Après un court instant elle émet un bruit typiquement cochon : « ouiii » C’est à ce moment là, que du dessous du rocher ou on s’était arrêter sortent deux petits marcassins, pas plus gros qu’un lapin, pour rejoindre à toute vitesse leur mère et s’enfouir avec elle vers la vallée. Ouf ! …….Qu’ils étaient mignons ces deux petits.

Jacques
11 mars 2015

>>> Haut de la page